Vie Quotidienne : Echange et Solidarité

La solidarité revêt des aspects multiples et
différents et nous ne souhaitons pas laisser le moindre de ces aspects en marge
de notre action. Tout le monde convient que la tâche est considérable et
qu’elle nécessite la collaboration de tous. L’action sociale, en particulier
par le travail du Centre Communal d’Action Sociale, couvre déjà en partie des
besoins exprimés par les personnes les plus défavorisées. Parmi les actions à
débattre :
-
favoriser des lieux et des moments d’échanges intergénérationnels. C’est dans l’esprit des
contrats intergénérationnels pour les actifs où les ainés se sentent encore «
utiles » en transmettant leur expérience aux plus jeunes.
-
envisager davantage de conférences et aider à la mise en place de réseaux
d’échanges de savoirs.
Saint Gildas a une population d’un certain nombre de retraité(e)s qui ont eu
des vies riches en expériences et en responsabilités dans des domaines divers
et variés.
-
rendre saint Gildas accessible à tous, en s’appuyant sur une
charte « ville-handicap »: cela correspond à la poursuite de la mise
en œuvre du PAVE (Plan
d’Accessibilité de la Voirie et des Espaces publics) afin de permettre l’accessibilité de
toutes les infrastructures publiques à toutes formes de handicap (cheminements
piétonniers, bâtiments, …). Cela devrait se traduire par environ 180 k€ de
charges et serait en partie couvert par des subventions.
L’aide
aux
plus démunis, le CCAS, l’aide à domicile etc....
Le centre de distribution alimentaire de
St Gildas fonctionne en liaison étroite avec le CCAS de la commune et c’est
essentiel.
Le centre n’est pas une structure
administrative et les bénévoles qui y travaillent toute l’année, même s’ils
sont tenus au devoir de réserve, n’ont pas vocation à connaître les situations
particulières des personnes aidées, par respect envers les accueillis.
L’association L’Recup
partenaire de la banque alimentaire aide le centre de distribution en Surgelés,
lessive et autres produits manquants.
Afin de leur redonner un regain d’orgueil
sur elles-mêmes, depuis décembre 2013, chaque personne aidée envoyée par le
CCAS « achète » et s’acquitte d’une somme de 10 cts par produit
distribué. Ces personnes sont ainsi aidées et non assistées.
Dans l’avenir, nous imaginons inciter les
personnes dépendantes du RSA à se réinsérer professionnellement par du
bénévolat dans des missions proposées par la collectivité
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